Nathalie Marais, Psychothérapies & Coaching
La systémie
Qu'est-ce qu'un système ?
« Le système, cela peut être le mien, celui qui me constitue et qui me caractérise et que je dirige vers l’autre avec mes croyances, mes valeurs, mes doutes, mes peurs … qu’on me renvoie … et que je transporte aussi en étant dans un système familial avec ces paramètres, puis aussi.. le système.. d’équipe … »
Nathalie MARAIS
Un système peut être défini comme un ensemble d’éléments interconnectés qui travaillent ensemble pour atteindre un objectif commun ou réaliser une fonction particulière. Les éléments peuvent être physiques, tels que des machines, des équipements électroniques ou des composants matériels, ou abstraits, tels que des processus, des règles, des logiciels ou des personnes.
Un système peut être ouvert, ce qui signifie qu’il peut interagir avec son environnement, ou fermé, ce qui signifie qu’il est isolé de son environnement.
Les systèmes ouverts sont généralement plus complexes et interconnectés que les systèmes fermés, car ils doivent tenir compte des influences externes et des interactions.
Voyons ce qu’est la systémie en psychothérapie.
Les approches systémiques
Pragmatique, stratégique, pratico-pratique, écologique, souple et adaptable, respectueuse des personnes et des environnements… sont quelques termes que l’on peut adosser à la systémie.
Un systémicien développe une vision interactionnelle des problèmes humains et des solutions pour les résoudre. Observateur, il détermine à quels niveaux se jouent les blocages et les difficultés.
L’interaction comprend le comportement relationnel mais également les pensées, représentations et les émotions qui participent à déterminer les comportements.
Un fois l’observation suffisante, le diagnostic établi, il va, de manière chirurgicale, opérer des interventions très ciblées et précises. Voici mon approche de systémie en psychothérapie.
Il observe alors les réactions du système et régule ses actions jusqu’à permettre à celui-ci d’atteindre ce qu’il souhaite. J’utilise la systémie en psychothérapie.
« Survivre à sa propre famille devient alors survivre à l’idée qu’on s’en fait »
Mony ELKAÏM